• Voici un blog de l'UMP avec des vidéos où on parle de nous avec beaucoup d'amour!


    http://www.enseignants-chercheurs.fr/site/index.php

    Pour exemple, l'édito de Coppé

    Edito

    Chers enseignants-chercheurs,

    De quoi notre pays a-t-il le plus besoin en ce début de 21ème siècle, particulièrement au cœur de la crise que nous traversons ? De femmes et d’hommes formés pour relever les défis de l’avenir. D’une dynamique d’innovation et de recherche ambitieuse pour donner un temps d’avance à la France.

    Dans cette logique, l’université est un des lieux les plus stratégiques pour l’avenir de notre pays. C’est au cœur de nos universités, grâce à vous, que se mène la bataille essentielle de l’intelligence. Comment pouvons-nous permettre à tous les talents que recèle notre université de s’exprimer pleinement ? Comment pouvons-nous valoriser au mieux ce potentiel de recherche et cette force de transmission ?

    C’est le défi que nous voulons relever en dotant les universités françaises de moyens renforcés et en leur donnant une plus grande autonomie. La loi sur l’autonomie a recueilli un très large consensus au moment de son vote pendant l’été 2007. Son décret d’application, et notamment quelques dispositions transitoires, suscite aujourd’hui le trouble d’une partie de la communauté universitaire.

    Aux côtés de Valérie Pécresse, ministre de la Recherche et de l’Enseignement supérieur, nous avons la conviction qu’il y a une voie de passage pour améliorer ce qui peut l’être, sans remettre en cause les principes fondateurs de la loi. Cette voie, nous pouvons la trouver ensemble, dans un état d’esprit constructif et avec une véritable volonté de dialogue.

    J’ai demandé à mes collègues, Daniel Fasquelle, Claude Goasguen et Benoist Apparu, qui connaissent très bien les enjeux de l’université, de mener ce dialogue au nom de l’ensemble des députés UMP. A l’écoute des remarques exprimées par la communauté universitaire, ils vont avancer un certain nombre de propositions pour améliorer le décret d’application de la loi sur l’autonomie.

    Avec ce site, nous voulons travailler avec vous sur ces propositions qui seront remises à Madame Claire Bazy-Malaurie, chargée d’une mission de médiation par Valérie Pécresse, N’hésitez pas à nous faire part de toutes vos suggestions constructives pour l’avenir de nos universités.

    Nous sommes à votre écoute. Merci de votre confiance !

    Jean-François Copé et l’ensemble des députés UMP


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  • Nature 457, 636 (5 February 2009)

    No time for rhetoric


    Nicolas Sarkozy must engage with French researchers if his much-needed
    science reforms are to succeed.

    In a speech on 22 January, as he set out his plans for a national
    strategy on science and innovation, French president Nicolas Sarkozy
    lambasted the country's university system as "infantilizing" and
    "paralysing for creativity and innovation". Sarkozy implied that
    French researchers were fainéants (layabouts) with cushy jobs, and no
    match for their supposedly more industrious British counterparts.

    The speech was a typically melodramatic example of la méthode Sarkozy
    and, if it contained some home truths, it was largely a caricature.
    His harsh rhetoric in this case (see http://tinyurl.com/av7flg) can
    only reinforce the resistance he has set out to overcome. In 2000, the
    incumbent science minister, Claude Allègre, saw his plans for sweeping
    reforms dashed after scientists united against him, weary of his
    unnecessary provocations and sceptical of reforms imposed from on high
    with little consultation. Sarkozy is tempting a similar fate.

    To their credit, Sarkozy and his science minister, Valérie Pécresse,
    have pushed through much-needed modernizations. These include putting
    universities on the road to independence from the centralized
    administration, giving them badly needed cash, and injecting a healthy
    dose of grants awarded on the basis of competitive proposals (see
    Nature 453, 133; 2008).

    But a massive strike across French universities that began this week
    (see page 640) suggests that, applied to the research community, la
    méthode Sarkozy has reached its limits. Sarkozy should heed Allègre's
    earlier mistakes and understand that he cannot modernize France's
    research system unless he has scientists on board. As things stand
    now, even top researchers who support the broad thrust of the reforms
    complain that their advice is being ignored, and that many changes
    seem as though they are being imposed by technocrats seeking grandiose
    institutional rearrangements as ends in themselves.

    The substance of Sarkozy's reforms is right, but to succeed he must
    engage more with scientists. Many researchers experience the reforms
    as if they were in an aircraft flying through thick cloud, buffeted by
    the turbulence of almost weekly changes, with little idea of where the
    plane is taking them. Some fears are exaggerated, but others are
    legitimate. To arrive at their destination, Pécresse and Sarkozy need
    to consult on reforms with the navigators in the research community
    who know this airspace best. And Sarkozy, a speedy man, may have to
    accept that throttling back can sometimes avoid unwelcome accidents.

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  • Un éditorial de FOG dans le Point pas piqué des hannetons : où l'on apprend que l'on est "cabochard et conservateur"

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